Projets et références

Le projet vise à réaliser l'évaluation finale du programme ARISE Plus-Aviation civile, financé par la CE et mis en œuvre par l'AESA depuis le 01/01/2018. Cette évaluation porte sur la qualité et les résultats des actions du volet Transport aérien, dans le cadre de la Stratégie globale de l'Union européenne en matière de politique étrangère et de sécurité et du rayonnement extérieur des Politiques internes de la Commission européenne.

Dans le cadre de la réforme du secteur électrique au Sénégal ce projet d’assistance technique vise à conseiller et soutenir le ministère du Pétrole et des Energies (MPE) dans le pilotage, la coordination et la mise en œuvre des activités programmées dans le cadre des réformes du secteur électrique, par un appui technique et un programme de renforcement des capacités.

L'objectif de la mission est de fournir un appui à l'IIU, sur une période de deux ans, dans ses opérations pour toutes les activités liées à la planification, à l'approvisionnement, à la mise en œuvre, à l'assurance qualité, à la programmation, et autres, selon les besoins. Chaque spécialiste du Groupe d'appui aux transports fournit une formation sur le terrain ainsi qu'un appui dans la réalisation des opérations quotidiennes et d'autres services de conseil avec d'autres membres du personnel de l'IIU.

L'objectif est le suivi-évaluation des impacts socio-économiques des travaux de la réhabilitation de la section Rumonge-Gitaza (45 km) et des aménagements connexes.
Ce suivi-évaluation des impacts socio-économiques permet, à l’aide d’indicateurs, d’une part, d’apprécier les principaux changements provoqués par le projet dans la zone d’influence et, d’autre part, d’obtenir les principaux résultats synthétiques en termes d’impacts. Il permet, en fin de projet, de juger dans quelle mesure la réalisation des différentes composantes du projet aura permis d’atteindre les objectifs de développement. La théorie du changement qui est une méthodologie de planification stratégique permet d’expliquer le processus de changement, en mettant en évidence les liens de causalité. Elle consiste à définir la mission ultime, qui en l’occurrence est de contribuer :
(i) à la réduction de la pauvreté, et
(ii) à l’amélioration des conditions de vie des populations.

L’objectif général du Projet PAES est de pallier les contraintes d’environnement pour un meilleur apprentissage des élèves par la réhabilitation globale des infrastructures d’environ 45 établissements cibles existants, répartis sur les 3 îles.
Les objectifs spécifiques du Projet consistent à :
• Construire et rénover des écoles durables aux Comores, incluant des dispositions constructives bioclimatiques adaptées au contexte local ;
• Mobiliser et sensibiliser des communautés locales dans les programmes de réhabilitations globales afin qu’elles s’approprient du projet ;
• Réaliser des études de conception d’au moins un projet de réhabilitation globale d’école primaire et d’un projet de réhabilitation globale de collège ;
• Encadrer et coordonner des MOE locales au cours de la phase d’études de conception.

L'objectif global de cette mission est d'améliorer la durabilité et la sécurité du système de transport routier régional. Les objectifs spécifiques de cette mission sont les suivants : (i) le renforcement des capacités institutionnelles et réglementaires ainsi que le renforcement des capacités des administrations et des agences concernées et une plus grande sensibilisation aux questions de genre, (ii) la simplification administrative et technique du transport, et (iii) l'amélioration de l'entretien du réseau régional et sa durabilité en réduisant la surcharge. Les résultats attendus de la mission sont les suivants : (i) une meilleure gouvernance de l'entretien des routes, et (ii) une amélioration des services de transport, des conditions et de la fluidité des corridors routiers régionaux.

Dans le cadre de l’approfondissement de l’intégration par la réduction de la durée et du coût du transit des marchandises à la suite du désengorgement du Port Autonome de Douala à la faveur de la délocalisation des opérations de transit portuaires, l’objectif est d’améliorer les conditions de dédouanement entre le Cameroun et le Tchad, de diminuer les coûts de transport, d’améliorer la fluidité du trafic et de réduire le délai de dédouanement ainsi que les barrières physiques et non physiques le long du corridor.
Le Port sec de N’gueli sera une plateforme multifonctionnelle de dédouanement dédiée à la délocalisation d’opérations portuaires, comprenant, entre autres : (i) des bâtiments ; (ii) un poste de pesage ; (iii) un système autonome d’alimentation en eau ; (iv) un système autonome d’alimentation en électricité ; (v) un système autonome de traitement des eaux usées ; (vi) un système autonome de recyclage et de valorisation des ordures ; (v) des voiries et réseaux divers (VRD) ; et (vi) des clôtures.

Le programme PROMOVE fait partie de l'approche globale de l'UE en matière de développement rural dans le cadre du 11e FED. L'objectif général du programme est de contribuer à une croissance économique durable, équitable, inclusive et diversifiée, ainsi qu'à la réduction de la pauvreté dans le contexte de la sécurité alimentaire et nutritionnelle nationale et du changement climatique grâce à : i) un accès amélioré et équitable à la nourriture, et ii) un accès équitable aux biens et services publics dans les zones rurales des provinces de Nampula et de Zambézie. Les services d’assistance technique pour le Programme PROMOVE Transporte a pour but de fournir un appui à l’ordonnateur national, à l’Administration nationale des Routes (ANE) et au Fonds routier aux niveaux central et provincial et à la Délégation de l’Union européenne au Mozambique concernant la surveillance de ces projets.

L’autoroute homogène à 2x3 voies d’Abidjan à Lagos de 1 028 km de long est un Projet majeur d'infrastructure de transport pour l'Afrique de l'Ouest. La Commission de la CEDEAO assure la mise en œuvre des études techniques et des activités connexes. Ces études d'ingénierie à grande échelle, associées à l'élaboration d'une stratégie de construction et de procédures d'exploitation des autoroutes par le biais de PPP, sont des services complexes à gérer par les Autorités contractantes et impliquent des budgets importants. En outre, trois bureaux d’études d'ingénierie sont engagés pour réaliser les études techniques, divisant le corridor en trois lots et nécessitant une supervision forte pour assurer une coordination efficace des études.
Par conséquent, l'objectif des services d'Assistance Technique (AT) est de : (i) soutenir l'Unité de mise en œuvre du projet dans la diversité des études menées dans le cadre du Programme ; (ii) servir d'interlocuteur avec toutes les parties prenantes ; (iii) soutenir la CEDEAO dans l'anticipation des actions urgentes ; et (iv) prendre les décisions nécessaires en matière d'expertise technique, juridique et financière pour permettre à la CEDEAO et aux agences mandatées des États membres de gérer efficacement toutes les phases de chaque composante prévue dans l'étude.

L’autoroute homogène à 2x3 voies d’Abidjan à Lagos de 1 028 km de long est un Projet majeur d'infrastructure de transport pour l'Afrique de l'Ouest. La Commission de la CEDEAO assure la mise en œuvre des études techniques et des activités connexes. Ces études d'ingénierie à grande échelle, associées à l'élaboration d'une stratégie de construction et de procédures d'exploitation des autoroutes par le biais de PPP, sont des services complexes à gérer par les Autorités contractantes et impliquent des budgets importants. En outre, trois bureaux d’études d'ingénierie sont engagés pour réaliser les études techniques, divisant le corridor en trois lots et nécessitant une supervision forte pour assurer une coordination efficace des études.
Par conséquent, l'objectif des services d'Assistance Technique (AT) est de : (i) soutenir l'Unité de mise en œuvre du projet dans la diversité des études menées dans le cadre du Programme ; (ii) servir d'interlocuteur avec toutes les parties prenantes ; (iii) soutenir la CEDEAO dans l'anticipation des actions urgentes ; et (iv) prendre les décisions nécessaires en matière d'expertise technique, juridique et financière pour permettre à la CEDEAO et aux agences mandatées des États membres de gérer efficacement toutes les phases de chaque composante prévue dans l'étude.